Paris-Honfleur, 1 canoë, 2 potes, 4 bras, 8 jours
Quand j’entends Fabrice derrière moi parler d’un ton affolé, je prends tout à coup conscience que 1 : nous sommes sur un canoë ; 2 : on dérive dangereusement sur la Seine ; 3 : il fait nuit noire et autour de nous je ne vois rien, à part le reflet de la nuit sur l’eau. – Arnaud, c’est la meeeeeerde ! On n’y…